Organogreen est né de la rencontre de deux passionnés : un agriculteur inventif et un golfeur compulsif. Le premier se prénomme David. Il travaille dans le secteur de l’agriculture depuis 30 ans, a géré des exploitations en France et en Afrique du Nord où il a été confronté à des terres arides. Le second, Thierry, est capable de faire entrer une balle de golf dans le moindre interstice de son emploi du temps. Il vit golf, pense golf, rêve golf.
Jusqu’au jour où il a parlé golf avec David. C’était en 2019.
Le sujet de leur discussion : les produits phytosanitaires. Difficile de s’en passer sans compromettre les performances et l’esthétique des golfs…
Réponse amusée de David : probablement pas plus difficile que faire pousser des légumes correctement calibrés aux portes du désert.
C’est sur ces terres où il utilisait toujours plus d’engrais minéraux pour des rendements toujours plus faibles que David a décidé de changer de regard sur son métier. Il a cessé de considérer les sols appauvris comme une fatalité et s’est décidé à y réintroduire la vie grâce à des fertilisants organiques. Il a multiplié les expérimentations, l’oeil rivé sur sa consommation d’eau, sur le coût des intrants, sur la qualité de sa production.
“ Des fertilisants organiques pour les golfs
Au fil de leurs rencontres, Thierry a sensibilisé David aux problématiques des golfs : la roule homogène, la fermeté, les plantes indésirables, la question du feutre, la couleur, la brillance…
Et c’est en mêlant leurs connaissances qu’ils ont imaginé Organogreen. Il s’agit d’une gamme de fertilisants organiques pour les golfs, qu’un travail de recherche et développement a permis de concentrer afin d’en démultiplier l’efficacité. Après un an de test sur des parcours français, les résultats sont au rendez-vous, et même supérieurs aux attentes sur des problématiques telles que la qualité de roule, le dollar spot et la couleur.
Nous pensons que l’échéance du 1er janvier 2025, qui interdira l’utilisation des produits phytosanitaires dans les golfs, n’est pas une impasse. C’est au contraire l’opportunité de penser différemment.